BRUNEAU Philippe

Né le 25 octobre 1931 à Paris. Mort au château des Hayes, à Brion, dans le Maine-et-Loire, le 16 mai 2001.

Titres universitaires

1948. Baccalauréat A-Philosophie.

1953. Licence ès lettres (Licence de Lettres classiques; certificats d’Histoire ancienne et d’Histoire moderne et contemporaine).

1954. D. E. S. de Lettres classiques («Les cultes de la Mésogée attique»).

1955. Agrégation des lettres classiques.

1956. Concours de l’École française d’Athènes.

1964. Doctorat de 3e cycle avec équivalence de thèse complémentaire de doctorat d’État («Les lampes de Délos»).

1970. Doctorat d’État («Recherches sur les cultes de Délos à l’époque hellénistique et à l’époque impériale»).

Carrière

1955-1960. Enseignement au Lycée de Valenciennes et service militaire.

1960-1963. Membre de l’École française d’Athènes.

1963-1964. Assistant de grec à la Faculté des Lettres et Sciences humaines de Rennes.

1964-1968. Secrétaire général de l’École française d’Athènes.

1er octobre 1968. Chargé d’enseignement d’Histoire de l’art antique à l’Université de Rennes.

1er juillet 1970. Titularisation comme Maître de conférences.

1er mai 1971. Nomination comme Professeur titulaire de la Chaire d’Histoire de l’art antique à l’Université de Rennes II.

1er octobre 1971. Chargé des cours de licence et de maîtrise d’Archéologie grecque à l’Université de Paris-Sorbonne.

Février 1974, élection, et 1er octobre 1975, nomination comme Professeur titulaire de la Chaire d’Archéologie grecque à l’Université de Paris-Sorbonne.

21 avril 1979. Membre correspondant de l’Institut archéologique allemand.

1972-1996. Membre français du Comité de rédaction du Lexicon Iconographicum Mythologiae Classicae.

1977-1996. Directeur du Centre de recherches en Archéologie moderne et contemporaine de l’Université de Paris-Sorbonne.

16 mai 2001, meurt pieusement et calmement au château des Hayes, des suites longues d’un lymphome.

Extrait de la notice nécrologique par Pierre-Yves Balut, partiellement publiée dans la Revue archéologique 2/ 2002, pp 407-419, le texte final étant modifié et complété du témoignage de Christian Le Roi ainsi que d’une bibliographie incomplète et numérotée thématiquement en continu et non chronologiquement. Ici, les numéros entre parenthèse renvoient à la bibliographie citée à la fin.

Son exigence intellectuelle le menait plus loin que ses études et son enseignement classique.

Déjà dans l’élaboration de l’érudition, il enseignait à ses étudiants de Rennes, dès le début de sa carrière (30,31,33,36), les arcanes du classement — ses impasses surtout, ses types qui se combinent, ses catégories « divers »… A travers les exemples des corpus des lampes antiques qu’il avait tant pratiqué, ou  des mosaïques, il montrait l’inanité des descriptions « à toutes fins utiles » qu’il avait su éviter dans sa première thèse (I) où le catalogue de quelques milliers d’exemplaires avait été ramené à la description pertinente de quelques types. Il soulevait encore les difficultés de l’affectation, de la datation ou de la restitution à partir des grandes publications de sites, dont Délos ou Érétrie fournissaient tant d’exemples, et qui, le plus souvent, se résolvaient à coup de postulats contestables ou de tautologies grossières. Loin de gaver les étudiants d’une érudition inadaptée, il formait le raisonnement, persuadé que la nouveauté, dans nos disciplines, viendrait plus de sa fermeté que de la quête naïve des découvertes ou plus encore que des hypothèses alternatives mais romanesques et sans fondement qui sont malheureusement l’inusable moteur d’une érudition restée littéraire (56,137,149). Les Deliaca sont ainsi souvent de belles «petites pièces» dans lesquelles il raisonne autrement une documentation déjà connue, en sorte de renouveler tout une question. En quoi il s’opposait aux idées reçues et aux comportements communs de nombre de ses collègues, suscitant l’incompréhension sinon l’hostilité.

Déjà, dans l’extension des curiosités, lui-même avait hésité, enfant, entre l’archéologie grecque et la littérature médiévale : il en a toujours gardé le goût, celui de la philologie — qui lui a permis de comprendre, par exemple, un terme mosaïstique mal lu d’un texte du moyen âge  —, ou de la matière de Bretagne, des parodies animales (2,4,7,8) ou du paysage. Il est resté toute sa vie passionné de Balzac, qu’il relisait régulièrement, ce qui lui fit faire le point sur l’archéologie balzacienne (66,132), non seulement comme témoignage et comme analyse raisonnée des «infiniment petits de la civilisation matérielle», mais autant comme moteur important de la création romanesque. Son Guide Balzac de la France (XII) réunit ainsi son érudition littéraire, son goût de l’histoire de l’archéologie où Balzac tient une grande place, ne serait-ce que par la conception qu’en a cet «archéologue du mobilier social» comme l’écrivain se définissait lui-même, ses plaisirs de promenade et ses dons de cornac qu’il ne montrait pas seulement en faisant visiter Délos ou en en élaborant l’inégalable guide (II). Sa curiosité classique n’en était pas moins grande cependant puisque au-delà de ses spécialités déliennes, cultuelles ou mosaïstiques, il aborda les rencontres de l’archéologie et de la politique ou de la littérature; il refonda une archéologie raisonnée de la sculpture antique (X,149), au grand dam des étroites patentes professionnelles des spécialistes. Il en fit matière de ses cours en Sorbonne, suivis souvent plusieurs années de suite par ses élèves, à qui il voulut offrir, lors de son départ en retraite, l’hommage de son ultime livre qui l’a occupé encore quinze jours avant sa mort, les Antimélanges (172) comme un dernier pied-de-nez aux usages de son milieu qu’il jugeait le plus souvent stériles. Aussi a-t’il toujours été ouvert aux sujets les plus divers de ses étudiants, pour leurs exposés ou leurs mémoires, convaincu en cela que la science et le travail universitaire sont dans le raisonnement, la construction de l’analyse et que l’érudition et ses outils sont une intendance simple de la profession qui ne demande que de la besogne qu’on doit apprendre vite à bien faire, mais qui ne doit pas encombrer l’essentiel. Malgré ces conceptions peu orthodoxes, malgré ces diversités de curiosité, il pouvait cependant se vanter de produire dans sa stricte spécialité d’helléniste beaucoup plus et de meilleur aloi que tant de ses détracteurs. Mais tout cela n’était pas pour plaire et lui coûta sans doute la place attendue du grand professeur en Sorbonne et du grand savant qu’il fut : il manqua à l’Académie.

Mais il  était prêt, dans une telle disposition d’esprit, à accueillir les rencontres qui allaient modifier et sa vie et ses engagements professionnels.

Il reçut à Athènes Jean Gagnepain, professeur de linguistique à l’université de Rennes, et guida ses visites de la Grèce. Il retrouva ses nouveaux amis lorsque Jean Bousquet l’appela comme assistant avant qu’il reparte comme secrétaire général de l’école française; puis après son retour en France, lorsque le même fit créer pour lui une chaire d’art et d’archéologie de l’antiquité, qu’il prit aussitôt avec joie, abandonnant celle de Nancy où il avait été élu : quoique parisien, il se sentait de l’Ouest depuis que la marquise douairière, sa grand-mère, l’amenait au Pouliguen en vacances ou que toute la famille se déguisait en breton ; il ne se sentait plus chez lui dès la gare de l’Est. Ainsi commença la grande aventure intellectuelle de sa vie. Jusqu’à son départ de Rennes en 1975, et bien après quand il le pouvait, il suivit assidûment les enseignements et les séminaires de Jean Gagnepain, sur la linguistique d’abord — ce qui leur fit partager leurs plaisirs et leur science d’hellénistes —, étendue par la suite à une anthropologie clinique des sciences humaines, la théorie de la médiation. Cette théorie des mécanismes structurés de la raison, à travers ses quatre expressions que sont le langage,  l’ars, la société et le droit, s’élaborait conceptuellement à partir des vérifications expérimentales des pathologies humaines. L’immense érudition et la suprême intelligence de Jean Gagnepain abordaient ainsi tous les problèmes et toutes les préoccupations des chercheurs en sciences humaines et fédéraient linguistes et historiens, médecins, psychanalystes et juristes, sociologues, philosophes et théologiens.

J’eus aussi l’immense chance de rencontrer Philippe Bruneau, il y a maintenant 31 ans. Il me mit sur les rails du raisonnement et de l’analyse; je le fis voyager dans des temps et des préoccupations que sa formation et ses goûts ne lui avaient pas fait connaître. Il rencontra ainsi la Renaissance, le maniérisme ou le classicisme moderne, l’architecture ou la peinture du XIXe siècle, les gares et les néo-grecs, les questions d’esthétique, d’art, d’analyse architecturale — nous fréquentions beaucoup alors à Rennes François Loyer, son collègue et cousin à la mode de Bretagne, spécialiste émérite de l’architecture du XIXe siècle —. Nous avons parcouru ensemble bien des pays, sillonnant les villes à pieds douze heures d’affilées, ne grignotant que quelques fruits et ne nous épargnant aucune visite d’église, de musée moderne ou contemporain, de monument, de fontaine ou de sculpture urbaine. Villas palladiennes, cimetière de Gênes ou de Venise, églises de Rome, Palais Farnèse de Caprarola, abbayes baroques et châteaux de Louis II en Bavière, paysages d’Écosse, de Norvège, du Brésil ou des Appalaches, châteaux classiques de Grande-Bretagne, cathédrale de Tolède, de Séville, jardins et temples du Japon, tombeaux et villes de Chine et toutes les régions de France : les voyages ont été notre mutuelle et constante éducation, outre notre constant plaisir d’être, de voir et de comprendre ensemble.

Les deux aventures de Philippe Bruneau n’avaient plus qu’à se rejoindre. Je connus Jean Gagnepain et fus aussi passionné de sa théorie et des prises qu’elle donnait sur le magma riche mais incohérent des sciences humaines, particulièrement des sciences historiques et plus encore archéologiques et artistiques. Très tôt, j’étais encore son étudiant, il nous était apparu évident que l’archéologie pouvait appliquer ses méthodes de raisonnement au matériel moderne et contemporain. Ce qui passionnait les antiquisants — vaisselles, tombes, habitats banals, etc. — n’intéressait guère les historiens d’art qui sélectionnent leur objet d’étude sur sa qualité; et les historiens, qui, s’intéressant aux ouvrages communs pour une histoire du quotidien ou du nombre, restaient bien embarrassés dans l’exploitation des realia, lesquelles étaient au pire des illustrations de leurs enquêtes, au mieux, des transpositions malhabiles des catalogues des historiens d’art. Quant aux objectifs, les archéologues ambitionnent bien de pouvoir faire une archéologie de la religion, de la politique, de la manière d’habiter, des représentations, etc., complémentaires et non redondantes des informations textuelles. Dès lors, il n’y avait pas de raison, sinon de routine et de cloisonnement, pour que l’archéologie ne soit pas transposable aux époques récentes (47 dans la Revue archéologique,58,87,99,154). Nous nous y essayâmes. Je fus élu à ce titre par la traditionnelle Sorbonne et Philippe Bruneau créa un enseignement en 1978, puis un centre de recherche, enfin une revue. Mais outre que s’occuper de ce qui n’intéresse pas les autres n’était pas très ambitieux, ce n’était pas non plus sans embûches : si les querelles sur le mot d’archéologie moderne tenait de la cuistrerie mal placée, quand on admet de s’orienter au Nord ou de saupoudrer les fraises, la concurrence de nos grands voisins même maladroite — histoire, ethnologie, sociologie —; l’inutilité quasi constante des objectifs habituels des archéologies à dater, restituer, affecter, etc.; et l’inféodation à une histoire déjà constituée et qui connait tout de la société, de la religion et du reste : tout cela rendait bien étroite et précaire la place d’une archéologie moderne et surtout contemporaine.

Là, la théorie de la médiation nous fut précieuse (88,114), en ce qu’elle donnait un objet propre à l’archéologie, sur l’autonomie de la raison de l’ars; des objectifs clairs dans les jeux mutuels et analysables des modes de la raison; et surtout une méthode fondée dans l’organisation même de cette raison, débarrassée de ses postulats douteux et de ses raisonnements fermés. Là encore, cette théorie générale de l’humain nous permit de réarticuler épistémologiquement les disciplines historiques (33,36,64) et de marquer leurs dépendances comme leurs autonomies; de les distinguer des enjeux et des organisations sociales des professions de savant, d’archiviste, d’historien ou de fouilleur; d’élaborer enfin une véritable historiographie, conceptuellement outillée et non réduite à ces narrations de biographies ou de bibliographies dont certains sont coutumiers (XI,75). Ainsi l’archéologie, de science bien auxiliaire, trouvait un statut disciplinaire solide et une extension à tout l’équipement fabriqué, par quoi elle pouvait se dire générale. Dans cette remise à plat, la complexité des questions posées par les archéologies classiques n’étaient pas pour rien dans la réflexion de Philippe Bruneau; ç’aurait pu être à leur honneur qu’elles en prissent conscience.

Cette refondation de l’archéologie qui fut l’œuvre de vingt ans de réflexion et d’élaboration, aboutit en 1997 à la publication d’Artistique et archéologie (IX) qui pour lui était son maître-livre, symétriquement au maître-livre qu’avait été sa thèse d’état sur les cultes hellénistiques à Délos (IV), selon le jugement de Louis Robert lui-même qui, dans leurs rapports un peu tendus, ne pouvait être qu’impartial.  «Il y a tout dans ce Mémoire d’archéologie générale», pouvait-il avouer : par sa conceptualisation comme par sa conception; par son index, par son foisonnement d’exemples, issus de la grande expérience de son érudition et de son métier, de sa constante attention à les relever — qui ne l’a vu prendre des notes en toute occasion, passant d’une poche à l’autre de sa veste les quarts de feuille découpés dans la paperasse administrative; et par son style, car il était exigeant sur ce point et infatigable à se corriger : mais il était fier qu’un éminent collègue historien répandît qu’il était «le meilleur styliste de la Sorbonne».

De là, tout a changé : l’efficacité et la cohérence de l’enseignement, la productivité des étudiants en mémoires et en articles — en particulier chez ceux qui gagnèrent l’école d’Athènes, comme Alexandre Farnoux, son successeur, ou Jean-Charles Moretti, son héritier délien et plus tard Hélène Siard, son émule dans les études des cultes égyptiens — et les développements toujours plus variés et toujours plus performants de ses recherches. Un secteur particulier domine en archéologie contemporaine : l’archéologie du catholicisme (82,74,133), avec l’analyse de l’église (125), des sanctuaires hypèthres (107,83,63), du jouet catholique (117) ou des crèches (136). Liées à sa foi comme à ses goûts des cérémonies catholiques qu’il avait servies comme grand clerc du diocèse de Paris, cérémoniaire passionné du rituel pontifical, d’anciennes préoccupations réapparaissaient qui, tout adolescent, l’avaient fait écrire, dans la brochure des clercs, sur les couleurs liturgiques ou sur les reliquats de grec dans la liturgie latine (IIIe partie de la bibliographie chronologique, « articles anciens »).

En archéologie générale il construisit aussi les modèles d’analyse du portrait (60) — pierre d’achoppement de tant d’historiens d’art, en particulier de l’Antiquité —; du vêtement (65,103) : il comptait lancer de nouvelles études de ce matériel en liaison avec la conservateur du musée de la mode aux Arts décoratifs, Lydia Kamitsis, qui était une ancienne élève et une amie chère, ou avec l’Institut français de la mode qui l’avait déjà appelé à intervenir dans leur formation et pour lequel il fit l’introduction d’un recueil de citations vestimentaires de Balzac (167). Il traita de l’inépuisable et complexe sujet de l’analyse de l’image (84), de la notion de style (94), de la question des sources textuelles (30), de l’épigraphie contemporaine (106), du statut de la trace (130), ou des rapports de l’archéologie et de la littérature (135) ou de la médecine (93). Il aborda même la musique et l’archéologie musicale (129), aidé par un ami commun, Jean-Luc Planchet, claveciniste, musicologue et pharmacien : c’était une autre de ses passions; il s’amusait parfois à « diriger » les symphonies de Beethoven, en lisant les partitions d’orchestre qu’il possédait de longue date. Instrumentalement, les timbales avaient sa faveur : au concert, il se plaçait au mieux pour les voir; il les mit dans le trophée qui le représente, dans le grand salon de sa demeure, avec l’arc d’Apollon, la pioche du fouilleur, l’épitoge de sa fonction et la croix de sa foi; il s’en déguisa même en s’en ceignant comme d’un pourpoint rigide, et armé de mailloches, lors d’un de ces nombreux bals costumés voué à la musique que nous organisions au château.

Car ce professeur, voyageur, administrateur aussi — co-directeur de l’Institut d’art et d’archéologie, membre du comité de rédaction du LIMC, directeur des Presses de l’université de Paris-Sorbonne, qui avait refusé pour son travail et sa tranquilité la direction littéraire du CNRS, ou, pour l’intérêt de son enseignement, la chaire du collège de France —, vivait toute sa semaine, sauf deux jours, à la campagne, depuis dix-sept ans. Il en avait toujours eu le goût, celui de la terre, même des animaux de la ferme, qu’il avait élevés pendant la guerre en Normandie : il était content d’être sans doute un des rares professeurs de faculté à savoir traire les vaches et bâter l’ânesse. L’opportunité lui fit acquérir un beau château classique du XVIIIe siècle en Anjou, sur vingt-cinq hectares de parc et jardins. Il travaillait le matin; se promenait une ou deux heures dans le parc et l’importante forêt alentour et vaquait ensuite aux tâches ménagères et à la lecture. Ce fut un bonheur constant de retraite monacale et de réceptions d’amis, de grande vie châtelaine et de plaisirs simples, de silence studieux et de fêtes. L’une des dernières fut celle du 27 mai 2000, où quelques soixante-dix de ses anciens étudiants, de presque toutes ses années d’enseignement, depuis Pierre Aupert, au lycée de Valenciennes, en passant par les Rennais, jusqu’à la fraîche maîtrise, vinrent l’entourer de leur présence et de leurs cadeaux lors de sa sortie de charge qui ne devait pas être, loin de là, la fin de son enseignement.

Mais et in Arcadia ego : le lymphome qu’il avait depuis vingt ans, dont l’évolution devait être très lente, est réapparu, agressif, en 1997. Philippe Bruneau a supporté avec bonne humeur et énergie les chimio- et radiothérapies successives, leurs fatigues et leurs dégradations. « Notre secours est dans le nom du Seigneur », me fit-il dire avec lui dans les derniers jours. Deus mecum était inscrit sur une petite croix qu’il porta toute sa vie : il était mystique, sa foi comme ses amitiés étaient une évidence, non une démonstration. Foi et amitié l’accompagnèrent, avec les grâces qu’il avouait d’une vie pleine dont il pouvait compter les bénédictions, pour le réjouir et le conforter.

Très calme et serein, avec même un regain après l’affaiblissement sensible des derniers jours, il est mort le mercredi 16 mai 2001, à midi moins cinq, âgé de 69 ans, 6 mois et 3 semaines exactement.

Pierre-Yves Balut, Sorbonne , Université de Paris

BIBLIOGRAPHIE*

(définitive et de référence)

I. LIVRES

I. Exploration archéologique de Délos, XXVI, Les lampes. Paris, 1965.190 p.

II. Guide de Délos (en coll. avec J. Ducat). Paris, 1965.180 p. —  3e éditon refondue et augmentée, 1983. 280 p.

III. Exploration archéologique de Délos, XXVII, L’Ilot de la maison des comédiens, direction et rédaction des p. 1-150 (en coll. avec Cl. Vatin), 239-265 et 421-427. Paris, 1970.

IV. Recherches sur les cultes de Délos à l’époque hellénistique et à l’époque impériale (BEFAR, 217). Paris, 1970. 694 p.

V. Exploration archéologique de Délos, XXIX, Les mosaïques. Paris, 1972. 332 p.

VI. Mosaïques de Délos. Paris, 1972; édit. anglaise, 1974. 40 p.

VII. Le sanctuaire et le culte des divinités égyptiennes à Érétrie (EPRO, 45). Leiden, 1975. 144 p.

VIII. La mosaïque antique. Paris, 1987. 168 p.

IX. Artistique et archéologie (en coll. avec P.-Y. Balut). I, Paris, 1989. 136 p. — Réédition corrigée du tome I et tome II, Paris, 1997, 389 p.

X. «La sculpture grecque» dans La sculpture, L’antiquité, p. 11-113. Genève, 1991.

XI. Études d’archéologie grecque, choix de textes de Perrot et Collignon, avec une introduction sur «L’archéologie grecque en Sorbonne de 1876 à 1914». Paris, 1993. 276 p.

XII. Guide [archéologique de la France de] Balzac, Paris, 1997, 280 p.

XIII. Exploration archéologique de Délos, XL, L’Autel de cornes et son parvis. Paris, 2001.

II. ARTICLES

1. «Isis Pélagia à Délos», BCH, 85 (1961), p. 435-446.

2. «Ganymède et l’aigle : images, caricatures et parodies animales», BCH, 86 (1962), p. 193-228.

3.«Isis Pélagia à Délos. Compléments», BCH, 87 (1963), p. 301-308.

4. «Héphaïstos à dos d’âne», BCH, 87 (1963), p. 509-516.

5. «Apotropaia déliens», BCH, 88 (1964), p. 159-168.

6. «Une nouvelle mosaïque à Délos» (en coll. avec Cl. Vatin), BCH, 88 (1964), p. 252-266.

7. «Le motif des coqs affrontés dans l’imagerie antique», BCH, 89 (1965), p. 90-121.

8. «Illustrations antiques du Coq et de l’Ane de Lucien», BCH, 89 (1965), p. 349-357.

9. «Huiliers hellénistiques» (en coll. avec A. Bovon), BCH, 90 (1966), p. 131-143.

10. «Lycurgue et Ambrosia sur une nouvelle mosaïque de Délos» (en coll. avec Cl. Vatin), BCH, 90 (1966), p. 391-427.

11. « Perspectives sur (…) la mosaïque gréco-romaine», REG, 79 (1966), p. 704-726.

12. «Deux noms antiques de pavement : kataklyston et lithostrôton», BCH, 91 (1967), p. 423-446.

13. «Le sens de abakiskoi et l’invention de l’opus tessellatum», REG, 80 (1967), p. 325-330.

14. Addendum à Cl. Vatin, «La stèle funéraire de Byzance n° 41», BCH, 92 (1968), p. 223-225.

15. «Contribution à l’histoire urbaine de Délos à l’époque hellénistique et à l’époque impériale», BCH, 92 (1968), p. 633-709.

16. «Une nouvelle mosaïque délienne à sujet mythologique» (en coll. avec G. Siebert), BCH, 93 (1969), p. 261-307.

17. «Prolongements de la technique des mosaïques de galets en Grèce», BCH, 93 (1969), p. 308-332 et addendum p. 1066-1067.

18. «Documents sur l’industrie délienne de la pourpre», BCH, 93 (1969), p. 759-791.

19. «La mosaïque de l’Iseion d’Érétrie», Antike Kunst, 12 (1969), p. 80-82.

20. «Les cintres de marbre à Délos» (en coll. avec Chr. Llinas), appendice à Exploration archéologique de Délos, XXVIII, Le Gymnase, p. 139-166.

21. «Tombes d’Argos», BCH, 94 (1970), p. 437-531.

22. Compte rendu de G. Heres, «Die punischen und griechischen Tonlampen der staatlichen Museen zu Berlin»; J. Deneauve, «Lampes de Carthage»; Th. Oziol et J. Pouilloux, «Salamine de Chypre», I, Les lampes», REG, 83 (1970), p. 538-545.

23. «A propos d’une mosaïque inscrite de Trikkala», REG, 83 (1970), p. XVI-XVII.

24. Enciclopedia dell’arte antica, Supplemento, 1970, art. DELO, p. 280-283.

25. «Une nouvelle publication de fouille : Eretria», REG, 84 (1971), p. 119-130.

26. «Lampes corinthiennes», BCH, 95 (1971), p. 437-501.

27. «Aristophane, Guêpes, 346-364», REG, 85 (1972), p. XXVI-XXVII.

28. «Le quartier de l’Inopos et la fondation du Sarapieion A dans un « lieu plein d’ordure »», BCH Suppl. I (1973), p. 111-136.

29. «Existe-t-il des statues d’Isis Pélagia?», BCH, 98 (1974), p. 333-381.

30. «Sources textuelles et vestiges matériels, réflexion sur l’interprétation archéologique», Mélanges helléniques [offerts à G. Daux] (1974), p.33-42.

31. «Sur un prétendu biaisement : à propos du classement archéologique», Annales E. S. C. , 1974, p. 1475-1482.

32. «Deliaca» [n° 1-15], BCH, 99 (1975), p. 267-311.

33. «Situation méthodologique de l’histoire de l’art antique», L’Antiquité classique, 44 (1975), p. 425-487.

34. «Quand la Grèce inventait la mosaïque», Les dossiers de l’archéologie n°15,mars-avril 1976, p.16-25.

35. «Hypothèse sur les vers 220-221 de l’Hymne homérique à Apollon, Delphes et Érétrie», REG, 89 (1976), p. XIII-XVI.

36. «Quatre propos sur l’archéologie nouvelle», BCH, 100 (1976), p. 103-135.

37. «La céramique des tombes hellénistiques [de Médéon]», Médéon de Phocide, V (Paris, 1976), p. 33-93.

38. «D’un lacedaemonius orbis à l’aes deliacum», Recueil Plassart (1976), p. 15-45

39. «Lampes corinthiennes II», BCH, 101 (1977), p. 249-295.

40. «La mosaïque grecque classique et hellénistique», Archeologia (Varsovie), 27 (1976), p. 12-42.

41. «Les cultes de l’Établissement des Poseidoniastes de Bérytos à Délos», Mélanges Vermaseren (1978), p. 160-190.

42. «Un devis de pose de mosaïque : le papyrus Cairo Zen. 59665», ∑THLH (Athènes, 1978),  p. 134-143.

43. «Deliaca II» [n° 16-29], BCH, 102 (1978), p. 109-171.

44. «Deliaca III» [n° 30-34], BCH, 103 (1979), p. 83-107.

45. «L’ »archéologie du monde moderne et contemporain » à l’université de Paris-Sorbonne», L’archéologie industrielle en France, n°4, mars 1979, p.2-5.

46. «La place de l’archéologie industrielle dans l’archéologie du monde moderne» (en coll. avec P.-Y. Balut), Comptes rendus du 104e congrès national des sociétés savantes (Paris, 1979), p. 7-12.

47. «L’archéologie du monde moderne», Séance du 18 novembre 1978, Bulletin de la Société française d’archéologie classique (XIII, 1978-1979), Revue archéologique, I/1980, p.169-171.

48. «Le dromos et le temple C du Sarapieion C de Délos», BCH, 104 (1980), p. 161-188.

49. «Aperçu sommaire sur la céramique hellénistique», dans Céramiques hellénistiques et romaines (Annales littéraires de l’Université de Besançon, tome 242, 1980), p. 9-17.

50. «Les lampes et l’histoire économique et sociale de la Grèce», ibid., p. 19-54.

51. «Préface» du catalogue de l’exposition La pioche et l’aiguille (Calais, 1981), p. 13-17.

52. «Un pressoir à vin à Délos» (en coll. avec Ph. Fraisse), BCH, 105 (1981), p. 127-153.

53. «Deliaca IV» [n° 35-38], BCH, 105 (1981), p. 79-125.

54. Article «Anios», Lexicon iconographicum mythologiae classicae I (1981), p. 793-794.

55. «La mosaïque en Grèce à l’époque impériale», Aufstieg und Niedergang der röm. Welt, 12. 2 Künste (1981), p. 321-345.

56. «L’Arès Borghèse et l’Arès d’Alcamène ou de l’opinion et du raisonnement», Mélanges Delvoye (1982), p. 177-199.

57. «Les « Israélites de Délos » et la juiverie délienne», BCH, 106 (1982), p. 465-504.

58. «Pour l’archéologie du monde moderne et contemporain» (en coll. avec P.-Y. Balut), Formes, printemps 1982, p. 3-6.

59. «Positions»(en coll. avec P.-Y. Balut), RAMAGE (Revue d’archéologie moderne et d’archéologie générale), 1 (1982), p. 3-33.

60. «Le portrait», RAMAGE , 1 (1982), p. 71-93.

61. «Pavimenta poenica», MEFRA, 94 (1982), p. 639-655.

62. «Éditorial» [Archéologie moderne et archéologie générale. Gloire au terrain, haro sur les idées! Archives et archéologie. Une science sans langage scientifique? …], RAMAGE, 2 (1983), p. 3-10.

63. « Le Calvaire de Pontchâteau», RAMAGE, 2 (1983), p. 11-41.

64. «Archéologie moderne et ethnologie française», RAMAGE, 2 (1983), p. 125-133.

65. «Le vêtement», RAMAGE , 2 (1983), p. 139-173.

66. «Balzac et l’archéologie», L’Année balzacienne, 1983, p. 15-50.

67. Compte rendu de Al. Papageorgiou-Venetas, «Délos. Recherches urbaines sur une ville antique», Gnomon, 56.1984, p.733-737.

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69. Article «Apollon», rubrique «Sources littéraires», Lexicon iconographicum mythologiae classicae II(1984), p. 183-185.

70. Article «Ares», Lexicon iconographicum mythologiae classicae II(1984), p. 479-492.

71. «Pavements « alexandrins » ou les pièges de l’homonymie», REG, 97 (1984), p. 61-83.

72. «Pressoirs déliens» (en coll. avec Ph. Fraisse), BCH, 108 (1984), p. 713-730.

73. «Éditorial» [Mais qu'est-ce donc que l'archéologie? Incomparable autopsie. Les deux chemins d'Héraclès. Encore les mots…], RAMAGE, 3 (1984-85), p. 5-12.

74. «L’archéologie de la République et du catholicisme en France au XIXe et au début du XXe siècle», RAMAGE, 3 (1984-85), p. 13-47.

75. «L’histoire de l’archéologie : enjeux, objet, méthode», RAMAGE, 3 (1984-85), p. 129-162.

76. «L’archéologie buissonnière. L’archéologie du paysage», RAMAGE, 3 (1984-85), p. 231-242.

77. «Les mosaïstes antiques avaient-ils des cahiers de modèles?», Revue arch., 1984, p. 241-272.

78. «L’archéologie moderne et contemporaine à l’université de Paris-Sorbonne», Source 1 (janvier 1985), p.83-86.

79. «Les anthina édaphè de Démétrios de Phalère», Rev. de philologie, 69 (1985), p. 45-56.

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81. «Éditorial» ["Orgueil et préjugés". Archéologie bouche-trou et archéologie creuse-trou…], RAMAGE, 4 (1986), p. 3-13.

82. «Linéaments d’une archéologie du catholicisme en France aux XIXe et XXe siècles», RAMAGE, 4 (1986), p. 127-149.

83. «Les grottes de Lourdes», RAMAGE, 4 (1986), p. 151-165.

84. «De l’image», RAMAGE, 4 (1986), p. 249-295.

85. Article «Delos», Lexicon iconographicum mythologiae classicae III (1986), p. 368-369.

86. Dossiers Histoire et archéologie, 105 (mai 1986), DÉLOS, direction et rédaction des p. 8-19, 29-37 et 45-55.

87. «L’archéologie moderne et contemporaine» (en coll. avec P.-Y. Balut), Dossiers Histoire et archéologie, 107 (juillet-août 1986), p. 78-81.

88. «Théorie de la médiation et archéologie» (en coll. avec P.-Y. Balut),Tétralogiques, 3 (1986), p. 159-189.

89. Compte rendu de Fr. Blondé, «Greek lamps from Thorikos», L’antiquité classique, LV (1986),p.579.

90. Compte rendu du Colloque « architecture et société de l’archaïsme à la fin de la république romaine » (1983), Revue archéologique, 1-1987, p.164-165.

91. «Le monument à abside», BCH, 111 (1987), p.628.

92. «Éditorial» [Bataille pour l'archéologie et récession scientifique. L'obsession du temps, ou coup d'œil sur la relation de l'archéologie à l'histoire] (en coll. avec P.-Y. Balut), RAMAGE, 5 (1987), p. 3-9.

93. «Diagnostic médical et diagnostic archéologique» (en coll. avec M. Bourel, membre de l’Académie de médecine), RAMAGE, 5 (1987), p. 11-26.

94. «Huit propositions sur le style», RAMAGE, 5 (1987), p. 87-106

95. «Le logement animal», RAMAGE, 5 (1987), p. 163-186.

96. [Sœur Estelle Delamare, de l'Ordre missionnaire du Cœur Transverbéré de la Sainte Mère de Dieu], «À propos des « Vierges colossales du second Empire »», RAMAGE, 5 (1987), p.187-189.

97. «De la rhétorique à l’histoire», Les lampes de terre cuite en Méditerranée, Table ronde CNRS décembre l981 (1987), p. 11-12.

98. «Initiation à l’architecture grecque», Archeologia, 213 (mai l986), p. 50-57; et 229 (nov. 1987), p. 56-63.

99. «L’archéologie moderne et contemporaine» (en coll. avec P.-Y. Balut), Préfaces, 3 (juill.-août-sept. 1987), p. 62-63.

100. «Deliaca VI» [n° 47-51], BCH, 111 (1987), p. 313-342.

101. «Peparethia», BCH, 111 (1987), p. 471-494.

102. «Le triskèle dans l’art grec», Mélanges Colbert de Beaulieu, p. 145-156.

103. «Hector Leroux archéologue du costume antique», Louis-Hector Leroux, cat. exposit. Bar-le-Duc et Verdun (1988), p. 33-34.

104. «L’élargissement du champ épistémologique et méthodologique de l’archéologie» (en coll. avec P.-Y. Balut), Constituer aujourd’hui la mémoire de demain, acte du colloque de Rennes (décembre 1984), 1988, p.53-55.

105. «Éditorial» [Le droit de question et le temps des spécialistes. Bons et mauvais colloques. Le mot de Polybe], RAMAGE, 6 (1988), p. 3-5.

106. «L’épigraphie moderne et contemporaine», RAMAGE, 6 (1988), p. 13-39.

107. «Les sanctuaires catholiques hypèthres en France aux XIXe et XXe siècles», RAMAGE, 6 (1988), p. 65-83.

108. «Philologie mosaïstique», Journal des savants, 1988, p. 3-73.

109. Article «Harpina», Lexicon iconographicum mythologiae classicae IV (1988), p. 415.

110. «Deliaca VII» [n° 52-55], BCH, 112 (1988), p. 569-582.

111. «Éditorial, ou du conformisme», RAMAGE, 7 (1989), p. 3-6.

112.[Albert Thibault, ancien professeur de Lettres, Saint-Sébastien d'Anjou],«En lisant les vieux livres», RAMAGE, 7 (1989), p.29-39.

113. «Initiation, la céramique et la peinture grecques», Archeologia, 247 (juin 1989), p. 48-61.

114. «Archéologie et théorie de la médiation» (en coll. avec P.-Y. Balut), Anthropologiques, 2 (1989), p. 217-221.

115. «L’esclavage à Délos», Mélanges Pierre Lévêque, III (1989), p. 41-52.

116. «Éditorial, Vent en proue ou « 30 ans d’archéologie »», RAMAGE, 8 (1990), p. 3-5.

117. «Le jouet catholique», RAMAGE, 8 (1990), p. 59-72.

118. «Deliaca VIII» [n° 56-65], BCH, 114 (1990), p. 553-591.

119. Article «Inopos», Lexicon iconographicum mythologiae classicae V (1990), p. 661.

120. «Médecine et archéologie : confrontation méthodologique» (en coll. avec M. Bourel), Bull. Acad. Natle. Méd., 1990, 174, n°4, séance du 15 mai 1990, p.541-548.

121. «L’Hymne à Délos de Callimaque et les cultes déliens», Mélanges Sadurska (1991), p. 94-98.

122. «Deliaca IX» [n° 66-68], BCH, 115 (1991), p. 377-388.

123. «La céramique pergaménienne à reliefs appliqués de Délos», BCH, 115 (1991), p. 597-666.

124. «Éditorial, les deux combats de RAMAGE», RAMAGE, 9 (1991), p. 3-6.

125. «Qu’est-ce qu’une église ?», RAMAGE, 9 (1991), p. 49-84.

125 bis.«Qu’est-ce qu’une église ?», (version abrégée), Techniques & Architecture, n° 405 (déc. 1992), p. 30-33.

126. «Compétence et compassion, le point de vue du patient», Médecine de l’homme, n°197 (janvier-février 1992), p.15-18.

127. «Textes et images», Actes du XXVe Congrès de l’association des germanistes de l’enseignement supérieur, Chambéry, 15-17 mai 1992 (Université de Savoie,1992), p.9-15.

128. «Éditorial, RAMAGE a dix ans», RAMAGE, 10 (1992), p. 3-6.

129. «Musique et archéologie musicale» (en coll. avec J.-L.Planchet),RAMAGE, 10 (1992), p. 29-54.

130. «Le statut archéologique de la trace», RAMAGE, 10 (1992), p. 85-91.

131. Article «Kynthos», Lexicon iconographicum mythologiae classicae VI (1992), p. 165.

132. «Balzac e la civiltà materiale», Europa 1700-1992 (Milan, 1992), p. 191-197.

133. «Un secteur-clé de l’archéologie contemporaine : l’archéologie du catholicisme récent», Annales d’histoire de l’art et d’archéologie de l’Université libre de Bruxelles,14 (1992),p. 75-93.

134. Compte rendu de «Xenia», REG, 105 (1992), p. 271-272.

135. «Archéologie et littérature», RAMAGE, 11 (1993), p. 55-91. — Version abrégée de la première partie dans Actes du XXVe Congrès de l’Association des Germanistes de l’Enseignement supérieur. Chambéry, 15-17 mai l992, p. 9-15.

136. «La crèche de Noël», RAMAGE, 11 (1993), p. 125-144.

137. «Le rajeunissement de l’Arès Borghèse», BCH, 117 (1993), p. 401-405.

138. Compte rendu de M. Donderer, «Die Mosaizisten der Antike…», Gnomon, 1993, p. 533-536.

139. Article «Delo», Enciclopedia dell’arte antica, Supplemento, 1994, p. 360-362.

140. Compte rendu de M.-Cl. Amouretti et G. Comet, «Hommes et techniques de l’Antiquité à la Renaissance», TOPOI, 4 (1994), p. 219-222.

141. Article «Phrixos et Helle», Lexicon iconographicum mythologiae classicae VII (1994),  p. 398-404.

142. Article «Theophane», Lexicon iconographicum mythologiae classicae VII (1994), p. 918.

143. «L’autel de corne à Délos», Comptes rendus de l’Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, (janvier-mars 1995), p.321-339.

144. «Le mausolée d’Halicarnasse : paradigme de l’hellénisation par l’art», Sources travaux historiques, n°36-37, p.149-151.

145.  «Deliaca X» [n° 69-73], BCH, 119 (1995), p. 35-62.

146. «La maison délienne», RAMAGE, 12 (1995), p. 77-118.

147. Compte rendu de M.-Cl. Amouretti et G. Comet, «Hommes et techniques de l’Antiquité à la Renaissance», «Des hommes et des plantes. Plantes méditerranéennes, vocabulaire et usages anciens», RAMAGE, 12 (1994/95), p.143-148.

148. Extrait du discours sur l’archéologie grecque prononcé le 17 juin 1994, dans le Grand Amphithéâtre de la Sorbonne, à l’occasion de la remise des insignes de docteur honoris causa à sir John Boardman, professeur d’archéologie classique à Oxford, RAMAGE, 12 (1994/95), p.161-163.

149. «Qu’il n’est d’art qu’abstrait : le réalisme dans la sculpture grecque», TOPOI, 5 (1995), p.5-61.

150. Article «Midios», Lexicon iconographicum mythologiae classicae VIII (1997),  p. 851.

151. Article «Phaleros II», Lexicon iconographicum mythologiae classicae VIII (1997),  p. 982.

152. Article «Teuthras», Lexicon iconographicum mythologiae classicae VIII (1997),  p. 1197-1198.

153. «Quand le « gramme » élimine le « mime »», Actes du troisième colloque international d’anthropologie clinique (Louvain-la-Neuve, novembre 1993), Anthropo-logiques 6(1995), 1996, p.57-58.

154. «L’archéologie moderne et contemporaine en France» (en coll. avec P.-Y. Balut), Archeologia postmedievale, 1 (1997), p. 69-72.

155. «Le portrait littéraire de Délos», Revue des études anciennes, 99 (1997), p. 299-304.

156. «Quoi de neuf en archéologie grecque?», Les nouvelles de l’archéologie 69 (1997), p. 5-10.

157. «Les collections d’art dans l’antiquité gréco-romaine», Curiosité, Études d’histoire de l’art en l’honneur d’Antoine Schnapper (Paris, 1998), p. 257-264.

158.«Éditorial : le temps des clones, l’amateur de prunes», RAMAGE, 13 (1996-98), p. 5-11.

159. «L’hellénisation par l’art», RAMAGE, 13 (1996-98), p. 17-34.

160. «Agatha Christie et l’archéologie», RAMAGE, 13 (1996-98), p. 141-149.

161. Divers comptes rendus sur l’archéologie du catholicisme (Dictionnaire des églises de Paris, Le Sacré-Cœur de Montmartre, Églises parisiennes du XXE siècle), des techniques (Techniques et économie antiques et médiévales : le temps de l’innovation), de la mer et de l’enfance (les biberons du docteur Dufour), RAMAGE, 13 (1996-98), p. 187-201.

162. «Le répertoire mosaïstique et sa transmission», Ateliers, 21 (1999), p.45-50.

163. Article «Delos», Encyclopedia of Early Art and Archaeology, à paraître.

164. «L’impair de chaussures », Etudes d’iconographie en l’honneur de Lilly Kahil, BCH suppl. 38, (2000), p. 63-72.

165. «Les mosaïstes antiques avaient-ils des cahiers de modèles ? (suite, probablement sans fin)», Ktéma 25 (2000), p. 191-197.

166.« Histoire des techniques, ergologie, archéologie », Techniques et sociétés en Méditerranée, Hommage à Marie-Claire Amouretti, (2001), p.29-38.

167. «Préface», Le vêtement chez Balzac, extraits de la Comédie Humaine, textes rassemblés par Fr. Boucher, 2001.

168. «Éditorial : l’archéologie contemporaine: de la voiture balai à la locomotive», RAMAGE, 14 (2000-01), p. 5-9.

169. «L’échange d’art», RAMAGE, 14 (2000-01), p.123-132.

170. «Apollon, rempart de Délos», (Hommage à Edmond Lévy), Ktema n°27 (2002), p.131-134.

171. Article « Délos », Dictionnaire de l’Antiquité, 2005, p.640-644.

172. Antimélanges, MAGE 3 (à paraître).

III. ARTICLES ANCIENS

1.«Chronique de la Maîtrise», Bulletin paroissial de l’église Sainte-Marie-des-Batignolles (SMB), décembre 1953.

2.«L’unité de la Maîtrise», Bulletin SMB, janvier 1954.

3.«Réflexion pour les jeunes»,  Bulletin SMB, février 1954, p.19.

4.«Chronique de la Maîtrise, Exhortation : l’assistance aux cérémonies»,  Bulletin SMB, avril 1954.

5. «L’usage de la langue grecque dans la liturgie romaine», L’Autel n°148, juin-juillet 1955, p.12-13.

6. «La liturgie catholique, Position du problème», Bulletin paroissial de l’église Sainte-Marie-des-Batignolles (SMB) n°57, décembre 1957, p.33-34.

7. «Éléments constitutifs de la liturgie catholique, les rites», Bulletin SMB n°58, janvier 1958, p.35-36.

8. «Les ministres du culte», Bulletin SMB n°59, février 1958, p.32-33.

9. «Les couleurs liturgiques», Bulletin SMB n°60, mars 1958, p.33-35.

10. «La royauté du Christ et la liturgie», Bulletin SMB n°61, avril 1958, p.42-43.

11. «Archéologisme et tradition en liturgie», Bulletin SMB n°62, mai 1958, p.39-41

12. «Archéologisme et tradition en liturgie» suite, Bulletin SMB n°63, juin 1958, p.27-29.

13. «L’année liturgique», Bulletin SMB n°65, octobre 1958, 34-35.

14. «Présentation du calendrier liturgique», Bulletin SMB n°66, novembre 1958, p.59-60.

15. «La fête de Noël», Bulletin SMB n°67, décembre 1958, p.31-33.

16. «Le cycle de Pâques et la liturgie quadragésimale», Bulletin SMB n°68, janvier 1959,  p.44-45.

17. «La semaine Sainte», Bulletin SMB n°69, février 1959, p.38-39.

18. «La semaine Sainte» , suite, Bulletin SMB n°70, mars 1959, p.36-37.

19. «Le cycle sanctoral et la liturgie des saints», Bulletin SMB n°71, avril 1959, p.41-43.

20. «Le sens religieux de l’année liturgique», Bulletin SMB n°72, mai 1959, p.47-48.

21. «Le sens religieux de l’année liturgique» suite, Bulletin SMB n°73, juin 1959, p.31-32.

BIBLIOGRAPHIE THÉMATIQUE[1]

I. ARCHÉOLOGIE GRECQUE

1. Délos

(sauf mosaïques, céramique et lampes)

LIVRES

II. Guide de Délos (en coll. avec J. Ducat). Paris, 1965.180 p. —  3e éditon refondue et augmentée, 1983.280 p.

III. Exploration archéologique de Délos, XXVII, L’Ilot de la maison des comédiens, direction et rédaction des p. 1-150 (en coll. avec Cl. Vatin), 239-265 et 421-427. Paris, 1970.

IV. Recherches sur les cultes de Délos à l’époque hellénistique et à l’époque impériale (BEFAR, 217). Paris, 1970. 694 p.

XIII. Exploration archéologique de Délos, L’Autel de cornes et son parvis. Paris, 2002.

ARTICLES

1. «Isis Pélagia à Délos», BCH, 85 (1961), p. 435-446.

3. «Isis Pélagia à Délos. Compléments», BCH, 87 (1963), p. 301-308.

5. «Apotropaia déliens», BCH, 88 (1964), p. 159-168.

15. «Contribution à l’histoire urbaine de Délos à l’époque hellénistique et à l’époque impériale», BCH, 92 (1968), p. 633-709.

18. «Documents sur l’industrie délienne de la pourpre», BCH, 93 (1969), p. 759-791.

20. «Les cintres de marbre à Délos» (en coll. avec Chr. Llinas), appendice à Exploration archéologique de Délos, XXVIII,Le Gymnase, p. 139-166.

24. Article «Delo», Enciclopedia dell’arte antica, Supplemento, 1970, p. 280-283

28. «Le quartier de l’Inopos et la fondation du Sarapieion A dans un « lieu plein d’ordure »», BCH Suppl. I (1973), p. 111-136.

32. «Deliaca» [n° 1-15], BCH, 99 (1975), p. 267-311.

41. «Les cultes de l’Établissement des Poseidoniastes de Bérytos à Délos», Mélanges Vermaseren (1978), p. 160-190.

43. «Deliaca II» [n° 16-29], BCH, 102 (1978), p. 109-171.

44. «Deliaca III» [n° 30-34], BCH, 103 (1979), p. 83-107.

48. «Le dromos et le temple C du Sarapieion C de Délos», BCH, 104 (1980), p. 161-188.

52. «Un pressoir à vin à Délos» (en coll. avec Ph. Fraisse), BCH, 105 (1981), p. 127-153.

53. «Deliaca IV» [n° 35-38], BCH, 105 (1981), p. 79-125.

57. «Les « Israélites de Délos » et la juiverie délienne», BCH, 106 (1982), p. 465-504.

67. Compte rendu de Al. Papageorgiou-Venetas, «Délos. Recherches urbaines sur une ville antique», Gnomon, 56.1984, p.733-737.

72. «Pressoirs déliens» (en coll. avec Ph. Fraisse), BCH, 108 (1984), p. 713-730.

80 «Deliaca V» [n° 39-46 ], BCH, 109 (1985), p. 545-567.

86. Dossiers Histoire et archéologie, 105 (mai 1986), DÉLOS, direction et rédaction des p. 8-19, 29-37 et 45-55.

91. «Le monument à abside», BCH, 111 (1987), p.628.

100. «Deliaca VI» [n° 47-51], BCH, 111 (1987), p. 313-342.

110. «Deliaca VII» [n° 52-55], BCH, 112 (1988), p. 569-582.

115. «L’esclavage à Délos», Mélanges Pierre Lévêque, III (1989), p. 41-52.

118.«Deliaca VIII» [n° 56-65], BCH, 114 (1990), p. 553-591.

121. «L’Hymne à Délos de Callimaque et les cultes déliens», Mélanges Sadurska (1991), p. 94-98.

122. «Deliaca IX» [n° 66-68], BCH, 115 (1991), p. 377-388.

123. «La céramique pergaménienne à reliefs appliqués de Délos», BCH, 115 (1991), p. 597-666.

139. Article «Delo», Enciclopedia dell’arte antica, Supplemento, 1994, p. 360-362.

143. «L’autel de corne à Délos», Comptes rendus de l’Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, (janvier-mars 1995), p.321-339.

145.  «Deliaca X» [n° 69-73], BCH, 119 (1995), P. 35-62.

146. «La maison délienne», RAMAGE, 12 (1995), P. 77-118.

155. «Le portrait littéraire de Délos», Revue des études anciennes, 99 (1997), p. 299-304.

163. Article «Delos», Encyclopedia of Early Art and Archaeology, à paraître.

170. «Apollon, rempart de Délos», (Hommage à Edmond Lévy), Ktema n°27 (2002), p.131-134.

171. Article « Délos », Dictionnaire de l’Antiquité, 2005, p.640-644.

2. Mosaïques : archéologie et philologie

LIVRES

V. Exploration archéologique de Délos, XXIX, Les mosaïques. Paris, 1972. 332 p.

VI. Mosaïques de Délos. Paris, 1972; édit. anglaise, 1974. 40 p.

VIII. La mosaîque antique. Paris, 1987. 168 p.

ARTICLES

6. «Une nouvelle mosaïque à Délos» (en coll. avec Cl. Vatin), BCH, 88 (1964), p. 252-266.

10. «Lycurgue et Ambrosia sur une nouvelle mosaïque de Délos» (en coll. avec Cl. Vatin), BCH, 90 (1966), p. 391-427.

11. « Perspectives sur (…) la mosaïque gréco-romaine», REG, 79 (1966), p. 704-726.

12. «Deux noms antiques de pavement : kataklyston et lithostrôton», BCH, 91 (1967), p. 423-446.

13. «Le sens de abakiskoi et l’invention de l’opus tessellatum», REG, 80 (1967), p. 325-330.

16. «Une nouvelle mosaïque délienne à sujet mythologique» (en coll. avec G. Siebert), BCH, 93 (1969), p. 261-307.

17. «Prolongements de la technique des mosaïques de galets en Grèce», BCH, 93 (1969), p. 308-332 et addendum p. 1066-1067.

19. «La mosaïque de l’Iseion d’Érétrie», Antike Kunst, 12 (1969), p. 80-82.

23. «A propos d’une mosaïque inscrite de Trikkala», REG, 83 (1970), p. XVI-XVII.

34. «Quand la Grèce inventait la mosaïque», Les dossiers de l’archéologie n°15,mars-avril 1976, p.16-25.

38. «D’un lacedaemonius orbis à l’aes deliacum», Recueil Plassart (1976), p. 15-45

40. «La mosaïque grecque classique et hellénistique», Archeologia (Varsovie), 27 (1976), p. 12-42.

42. «Un devis de pose de mosaïque : le papyrus Cairo Zen. 59665», THLH (Athènes, 1978) p. 134-143.

55. «La mosaïque en Grèce à l’époque impériale», Aufstieg und Niedergang der röm. Welt, 12. 2 Künste (1981), p. 321-345.

61. «Pavimenta poenica», MEFRA, 94 (1982), p. 639-655.

71. «Pavements « alexandrins » ou les pièges de l’homonymie», REG, 97 (1984), p. 61-83.

77. «Les mosaïstes antiques avaient-ils des cahiers de modèles?», Revue arch., 1984, p. 241-272.

79. «Les anthina édaphè de Démétrios de Phalère», Rev. de philologie, 69 (1985), p. 45-56.

108. «Philologie mosaïstique», Journal des savants, 1988, p. 3-73.

134. Compte rendu de «Xenia», REG, 105 (1992), p. 271-272.

138. Compte rendu de M. Donderer, «Die Mosaizisten der Antike…», Gnomon, 1993, p. 533-536.

162. «Le répertoire mosaïstique et sa transmission», Ateliers, 21 (1999), p.45-50.

165. «Les mosaïstes antiques avaient-ils des cahiers de modèles ? (suite, probablement sans fin)», Ktéma 25 (2000), p. 191-197.

3. Lampes et céramique hellénistique

LIVRE

I. Exploration archéologique de Délos, XXVI, Les lampes. Paris, 1965. 180 p.

ARTICLES

9. «Huiliers hellénistiques» (en coll. avec A. Bovon), BCH, 90 (1966), p. 131-143.

21. «Tombes d’Argos», BCH, 94 (1970), p. 437-531.

22. Compte rendu de G. Heres, «Die punischen und griechischen Tonlampen der staatlichen Museen zu Berlin»; J. Deneauve, «Lampes de Carthage»; Th. Oziol et J. Pouilloux, «Salamine de Chypre», I, Les lampes», REG, 83 (1970), p. 538-545.

26. «Lampes corinthiennes», BCH, 95 (1971), p. 437-501.

37. «La céramique des tombes hellénistiques [de Médéon]», Médéon de Phocide, V (Paris, 1976), p. 33-93.

39. «Lampes corinthiennes II», BCH, 101 (1977), p. 249-295.

49. «Aperçu sommaire sur la céramique hellénistique», dans Céramiques hellénistiques et romaines (Annales littéraires de l’Université de Besançon, tome 242, 1980), p. 9-17.

50. «Les lampes et l’histoire économique et sociale de la Grèce», ibid., p. 19-54.

89. Compte rendu de Fr. Blondé, «Greek lamps from Thorikos», L’antiquité classique, LV (1986),p.579.

97. «De la rhétorique à l’histoire», Les lampes de terre cuite en Méditerranée, Table ronde CNRS décembre l981 (1987), p. 11-12.

4. Sculpture

LIVRE

X. «La sculpture grecque» dans La sculpture, L’antiquité, p. 11-113. Genève, 1991.

ARTICLES

29. «Existe-t-il des statues d’Isis Pélagia?», BCH, 98 (1974), p. 333-381.

56. «L’Arès Borghèse et l’Arès d’Alcamène ou de l’opinion et du raisonnement», Mélanges Delvoye (1982), p. 177-199.

137. «Le rajeunissement de l’Arès Borghèse», BCH, 117 (1993), p. 401-405.

149. Qu’il n’est d’art qu’abstrait : abstraction et réalisme dans la sculpture grecque», TOPOI, 5 (1995), p. 5-61.

5. Iconographie

ARTICLES

2. «Ganymède et l’aigle : images, caricatures et parodies animales», BCH, 86 (1962), p. 193-228.

4. «Héphaïstos à dos d’âne», BCH, 87 (1963), p. 509-516.

7. «Le motif des coqs affrontés dans l’imagerie antique», BCH, 89 (1965), p. 90-121.

8. «Illustrations antiques du Coq et de l’Ane de Lucien», BCH, 89 (1965), p. 349-357.

14. Addendum à Cl. Vatin, «La stèle funéraire de Byzance n° 41», BCH, 92 (1968), p.223-225.

54. Article «Anios», Lexicon iconographicum mythologiae classicae I (1981), p. 793-794.

69. Article «Apollon», rubrique «Sources littéraires», Lexicon iconographicum mythologiae classicae II (1984), p. 183-185.

70. Article «Ares», Lexicon iconographicum mythologiae classicae II (1984), p. 479-492.

85. Article «Delos», Lexicon iconographicum mythologiae classicae III (1986), p. 368-369.

102. «Le triskèle dans l’art grec», Mélanges Colbert de Beaulieu, p. 145-156.

109. Article «Harpina», Lexicon iconographicum mythologiae classicae IV (1988), p. 415.

119. Article «Inopos», Lexicon iconographicum mythologiae classicae V (1990), p. 661.

131. Article «Kynthos», Lexicon iconographicum mythologiae classicae VI (1992), p. 165.

141. Article «Phrixos»,Lexicon iconographicum mythologiae classicae VII (1994), p.398-404.

142. Article «Theophane», Lexicon iconographicum mythologiae classicae VII(1994), p.918.

150. Article «Midios», Lexicon iconographicum mythologiae classicae VIII (1997), p. 851.

151. Article «Phaleros II», Lexicon iconographicum mythologiae classicae VIII (1997), p. 982.

152. Article «Teuthras», Lexicon iconographicum mythologiae classicae VIII (1997), p. 1197-1198.

164. «L’impair de chaussures », Etudes d’iconographie en l’honneur de Lilly Kahil, BCH suppl. 38, (2000), p. 63-72.

6. Divers

LIVRE

VII. Le sanctuaire et le culte des divinités égyptiennes à Érétrie (EPRO, 45). Leiden, 1975. 144 p.

ARTICLES

25. «Une nouvelle publication de fouille : Eretria», REG, 84 (1971), p. 119-130.

27. «Aristophane, Guêpes, 346-364», REG, 85 (1972), p. XXVI-XXVII.

35. «Hypothèse sur les vers 220-221 de l’Hymne homérique à Apollon, Delphes et Érétrie», REG, 89 (1976), p. XIII-XVI.

90. Compte rendu du Colloque « architecture et société de l’archaïsme à la fin de la république romaine » (1983), Revue archéologique, 1-1987, p.164-165.

98. «Initiation à l’architecture grecque», Archeologia, 213 (mai l986), p. 50-57; et 229 (nov. 1987), p. 56-63.

101. «Peparethia», BCH, 111 (1987), p. 471-494.

113. «Initiation,  la céramique et la peinture grecques», Archeologia, 247 (juin 1989), p. 48-61.

144. «Le mausolée d’Halicarnasse : paradigme de l’hellénisation par l’art», Sources travaux historiques, n°36-37, p.149-151.

147. Compte rendu de M.-Cl. Amouretti et G. Comet, «Hommes et techniques de l’Antiquité à la Renaissance», «Des hommes et des plantes. Plantes méditerranéennes, vocabulaire et usages anciens», RAMAGE, 12 (1994/95), p.143-148.

148. Extrait du discours sur l’archéologie grecque prononcé le 17 juin 1994, dans le Grand Amphithéâtre de la Sorbonne, à l’occasion de la remise des insignes de docteur honoris causa à sir John Boardman, professeur d’archéologie classique à Oxford, RAMAGE, 12 (1994/95), p.161-163.

156. «Quoi de neuf en archéologie grecque?», Les nouvelles de l’archéologie 69 (1997), p. 5-10.

157. «Les collections d’art dans l’antiquité gréco-romaine», Curiosité, Études d’histoire de l’art en l’honneur d’Antoine Schnapper (Paris, 1998), p. 257-264.

159. «L’hellénisation par l’art», RAMAGE, 13 (1996-98), p. 17-34.

166.« Histoire des techniques, ergologie, archéologie », Techniques et sociétés en Méditerranée, Hommage à Marie-Claire Amouretti, (2001), p.29-38.

172. Antimélanges, MAGE 3 (à paraître).

II. THÉORIE DE L’ARCHÉOLOGIE

LIVRE

IX. Artistique et archéologie (en coll. avec P.-Y. Balut). I, Paris, 1989, 136 p. Réédition corrigée du tome I et tome II, Paris, 1997, 389 p.

ARTICLES

30. «Sources textuelles et vestiges matériels, réflexion sur l’interprétation archéologique», Mélanges helléniques [offerts à G. Daux] (1974), p.33-42.

31. «Sur un prétendu biaisement : à propos du classement archéologique», Annales E. S. C. , 1974, p. 1475-1482.

33. «Situation méthodologique de l’histoire de l’art antique», L’Antiquité classique, 44 (1975), p. 425-487.

36. «Quatre propos sur l’archéologie nouvelle», BCH, 100 (1976), p. 103-135.

60. «Le portrait», RAMAGE (Revue d’archéologie moderne et d’archéologie générale), 1 (1982), p. 71-93.

65. «Le vêtement», RAMAGE, 2 (1983), p. 139-173.

76. «L’archéologie buissonnière. L’archéologie du paysage», RAMAGE, 3 (1984-85), p. 231-242.

84. «De l’image», RAMAGE, 4 (1986), p. 249-295.

88. «Théorie de la médiation et archéologie» (en coll. avec P.-Y. Balut),Tétralogiques, 3 (1986), p. 159-189.

93. «Diagnostic médical et diagnostic archéologique» (en coll. avec M. Bourel, membre de l’Académie de médecine),RAMAGE, 5 (1987), p. 11-26.

94. «Huit propositions sur le style», RAMAGE, 5 (1987), p. 87-106.

95. «Le logement animal», RAMAGE, 5 (1987), p. 163-186.

104. «L’élargissement du champ épistémologique et méthodologique de l’archéologie» (en coll. avec P.-Y. Balut), Constituer aujourd’hui la mémoire de demain, acte du colloque de Rennes (décembre 1984), 1988, p.53-55.

106. «L’épigraphie moderne et contemporaine», RAMAGE, 6 (1988), p. 13-39.

114. «Archéologie et théorie de la médiation» (en coll. avec P.-Y. Balut), Anthropologiques,2 (1989), p. 217-221.

120. «Médecine et archéologie : confrontation méthodologique» (en coll. avec M. Bourel), Bull. Acad. Natle. Méd., 1990, 174, n°4, séance du 15 mai 1990, p.541-548.

127. «Textes et images», Actes du XXVe Congrès de l’association des germanistes de l’enseignement supérieur, Chambéry, 15-17 mai 1992 (Université de Savoie,1992), p.9-15.

129. «Musique et archéologie musicale» (en coll. avec J.-L.Planchet), RAMAGE, 10 (1992), p. 29-54.

130. «Le statut archéologique de la trace», RAMAGE, 10 (1992), p. 85-91.

135. «Archéologie et littérature», RAMAGE, 11 (1993), p. 55-91.  — Version abrégée de la première partie dans Actes du XXVe Congrès de l’Association des Germanistes de l’Enseignement supérieur. Chambéry, 15-17 mai l992, p. 9-15.

140. Compte rendu de M.-Cl. Amouretti et G. Comet, «Hommes et techniques de l’Antiquité à la Renaissance», TOPOI, 4 (1994), p. 219-222.

153. «Quand le « gramme » élimine le « mime »», Actes du troisième colloque international d’anthropologie clinique (Louvain-la-Neuve, novembre 1993), Anthropo-logiques 6(1995), 1996, p.57-58.

160. «Agatha Christie et l’archéologie», RAMAGE, 13 (1996-98), p.141-149.

169. «L’échange d’art», RAMAGE, 14 (2000-01), p.123-132.

III. HISTOIRE DE L’ARCHÉOLOGIE

LIVRES

XI. Études d’archéologie grecque, choix de textes de Perrot et Collignon, avec une introduction sur «L’archéologie grecque en Sorbonne de 1876 à 1914». Paris, 1993. 276 p.

XII. Guide archéologique de la France de Balzac, Paris, 1997, 280 p.

ARTICLES

66. «Balzac et l’archéologie», L’Année balzacienne, 1983, p. 15-50.

75. «L’histoire de l’archéologie : enjeux, objet, méthode», RAMAGE, 3 (1984-85), p. 129-162.

103. «Hector Leroux archéologue du costume antique», Louis-Hector Leroux, cat. exposit. Bar-le-Duc et Verdun (1988), p. 33-34.

112. [Albert Thibault, ancien professeur de Lettres, Saint-Sébastien d'Anjou], «En lisant les vieux livres», RAMAGE, 7 (1989), p.29-39.

132. «Balzac e la civiltà materiale», Europa 1700-1992 (Milan, 1992), p. 191-197.

167. «Préface», Le vêtement chez Balzac, extraits de la Comédie Humaine, textes rassemblés par Fr. Boucher, 2001.

IV. ARCHÉOLOGIE MODERNE ET CONTEMPORAINE

1. Positions de principe

ARTICLES

45. «L’ »archéologie du monde moderne et contemporain » à l’université de Paris-Sorbonne», L’archéologie industrielle en France, n°4, mars 1979, p.2-5.

46. «La place de l’archéologie industrielle dans l’archéologie du monde moderne» (en coll. avec P.-Y. Balut), Comptes rendus du 104e congrès national des sociétés savantes (Paris, 1979), p. 7-12.

47. «L’archéologie du monde moderne», Séance du 18 novembre 1978, Bulletin de la Société française d’archéologie classique (XIII, 1978-1979), Revue archéologique, I/1980, p.169-171.

58. «Pour l’archéologie du monde moderne et contemporain» (en coll. avec P.-Y. Balut), Formes, printemps 1982, p. 3-6.

59. «Positions» (en coll. avec P.-Y. Balut), RAMAGE (Revue d’archéologie moderne et d’archéologie générale), 1 (1982), p. 3-33.

62. «Éditorial» [Archéologie moderne et archéologie générale. Gloire au terrain, haro sur les idées! Archives et archéologie. Une science sans langage scientifique? …], RAMAGE, 2 (1983), p. 3-10.

64. «Archéologie moderne et ethnologie française», RAMAGE, 2 (1983), p. 125-133.

73. «Éditorial» [Mais qu'est-ce donc que l'archéologie? Incomparable autopsie. Les deux chemins d'Héraclès. Encore les mots…], RAMAGE, 3 (1984-85), p. 5-12.

78. «L’archéologie moderne et contemporaine à l’université de Paris-Sorbonne», Source 1 (janvier 1985), p.83-86.

81. «Éditorial» ["Orgueil et préjugés". Archéologie bouche-trou et archéologie creuse-trou…], RAMAGE, 4 (1986), p. 3-13.

87. «L’archéologie moderne et contemporaine» (en coll. avec P.-Y. Balut), Dossiers Histoire et archéologie, 107 (juillet-août 1986), p. 78-81.

92. «Éditorial» [Bataille pour l'archéologie et récession scientifique. L'obsession du temps, ou coup d'œil sur la relation de l'archéologie à l'histoire] (en coll. avec P.-Y. Balut), RAMAGE, 5 (1987), p. 3-9.

99. «L’archéologie moderne et contemporaine» (en coll. avec P.-Y. Balut), Préfaces, 3 (juill.-août-sept. 1987), p. 62-63.

105. «Éditorial» [Le droit de question et le temps des spécialistes. Bons et mauvais colloques. Le mot de Polybe], RAMAGE , 6 (1988), p. 3-5.

111. «Éditorial, ou du conformisme», RAMAGE, 7 (1989), p. 3-6.

116. «Éditorial, Vent en proue ou « 30 ans d’archéologie »», RAMAGE, 8 (1990), p. 3-5.

124. «Éditorial, les deux combats de RAMAGE», RAMAGE, 9 (1991), p. 3-6.

128. «Éditorial, RAMAGE a dix ans», RAMAGE, 10 (1992), p. 3-6.

154. «L’archéologie moderne et contemporaine en France» (en coll. avec P.-Y. Balut), Archeologia postmedievale, 1 (1997), p. 69-72.

158.«Éditorial : le temps des clones, l’amateur de prunes», RAMAGE, 13 (1996-98), p. 5-11.

168. «Éditorial : l’archéologie contemporaine: de la voiture balai à la locomotive», RAMAGE,14 (2000-01), p. 5-9.

2. Archéologie du catholicisme récent

ARTICLES

63. « Le Calvaire de Pontchâteau», RAMAGE, 2 (1983), p. 11-41.43.

74. «L’archéologie de la République et du catholicisme en France au XIXe et au début du XXe siècle», RAMAGE, 3 (1984-85), p. 13-47.

82. «Linéaments d’une archéologie du catholicisme en France aux XIXe et XXe siècles», RAMAGE, 4 (1986), p. 127-149.

83. «Les grottes de Lourdes», RAMAGE, 4 (1986), p. 151-165.

96. [Sœur Estelle Delamare, de l'Ordre missionnaire du Cœur Transverbéré de la Sainte Mère de Dieu], «À propos des « Vierges colossales » du second Empire», RAMAGE, 5 (1987), p.187-189.

107. «Les sanctuaires catholiques hypèthres en France aux XIXe et XXe siècles», RAMAGE, 6 (1988), p. 65-83.

117. «Le jouet catholique», RAMAGE, 8 (1990), p. 59-72.

125. «Qu’est-ce qu’une église ?», RAMAGE, 9 (1991), p. 49-84.

125bis. «Qu’est-ce qu’une église ?», (version abrégée), Techniques & Architecture, n° 405 (déc. 1992), p. 30-33.

133. «Un secteur-clé de l’archéologie contemporaine : l’archéologie du catholicisme récent», Annales d’histoire de l’art et d’archéologie de l’Université libre de Bruxelles, 14 (1992), p. 75-93.

136. «La crèche de Noël», RAMAGE, 11 (1993), p. 125-144.

161. Divers comptes rendus sur l’archéologie du catholicisme (Dictionnaire des églises de Paris, Le Sacré-Cœur de Montmartre, Églises parisiennes du XXE siècle), des techniques (Techniques et économie antiques et médiévales : le temps de l’innovation), de la mer et de l’enfance (les biberons du docteur Dufour), RAMAGE, 13 (1996-98), p. 187-201.

3. Divers

ARTICLES

51. «Préface» du catalogue de l’exposition La pioche et l’aiguille (Calais, 1981), p. 13-17.

68 «L’archéologie des bains et des gymnases : comment et pourquoi ?» catalogue de l’exposition Deux siècles d’architecture sportive à Paris (1984), p. 5-7.

126. «Compétence et compassion, le point de vue du patient», Médecine de l’homme, n°197 (janvier-février 1992), p.15-18.


* A l’exclusion de la plupart des comptes rendus; seuls sont retenus ici ceux qui équivalent à un article. Les grisés sont sans tiré-à-part.

[1]Les livres sont numérotés par ordre chronologique en chiffres romains; et les articles, en chiffres arabes.

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